Christian Kozar me dit que la technostructure tue le changement. Bertrand Delage le rejoint. Pour lui, il y a les "processus clés" qui concourent à "créer la valeur" pour le client. Et les processus support et la "structure". Eux sont là pour permettre aux processus clés de fonctionner au mieux. Or, l'inverse se passe. Ils veulent dicter leur loi. Par exemple, ils veulent imposer aux opérationnels telle ou telle nouveauté des technologies de l'information.
D'une manière générale, la technostructure tend au ritualisme. Elle est aveuglée par les outils de sa fonction. Elle ne voit plus ce qui est la fin ultime de l'organisation. Au lieu de la servir, elle veut la contraindre.
(Ce qui provoque cet effet pervers, c'est l'isolement de la technostructure. Pour l'éviter, elle doit comprendre la raison d'être de l'entreprise.)
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