La voiture sans chauffeur n'a vraisemblablement pas d'avenir, dit The Economist. Pas pour une raison technique : elle fonctionne. Mais parce que la baisse des salaires combinée aux économies permises par le "digital" rendent plus avantageux d'utiliser un chauffeur que d'investir dans la recherche.
En créant une classe de pauvres, l'économie de marché a tué l'intérêt économique du progrès technique. Pire : on pourrait être tenté, de plus en plus, de remplacer la machine par l'homme. On aurait alors une sorte de progrès négatif. Une destruction de ce que l'humanité a créé. Paradoxal.
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