Obama n’est pas celui que nous attendions : alors qu’il s’est dit l’homme du changement, il est incapable de leadership !
L’idée semble faire consensus. Et il l’a entendue. Il avoue qu’il s’est trompé : il a cru que son rôle était de prendre de bonnes décisions, selon un processus rationnel, et que la nation lui en serait reconnaissante.
Est-ce suffisant pour qu’il se transforme ? En tout cas, c’est un homme exceptionnel. Le fantasme de la décision rationnelle, « the one best way », affecte tous les dirigeants politiques et les patrons occidentaux. Mais aucun d’entre eux n’est à la veille de la moindre remise en cause.
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