Sommet de Copenhague, raisons d’optimisme :
Planet B :
- Jusque-là (Kyoto) seuls les pays développés s’engageaient à réduire leurs émissions ; aujourd’hui tout le monde est concerné.
- Une négociation à 193 avait peu de chances de réussir, d’autant plus que le problème est effroyablement complexe. Des organisations plus petites, plus spécialisées, de motivés, se mettraient en place, coordonnées par l’ONU.
- Confirme que la Chine a torpillé la négociation, empêchant même les pays développés de prendre des engagements. Mais :
- Il y a accord sur un système de contrôle des émissions, dont l’Inde et la Chine ne voulaient pas. Ainsi que sur le principe d’une aide des riches aux pauvres.
Climat: l'après-Copenhague sera européen, prend le contre-pied des critiques faites à l’UE :
- Sans elle il n’y aurait pas eu Copenhague. Surtout, c’est-elle qui a fixé le cadre dans lequel vont se dérouler les négociations mondiales futures.
- Elle aurait une « une avance capitale en matière d’instruments économiques capables de limiter les émissions de gaz à effet de serre ». « Elle est en passe de devenir une puissance écologique (…) elle doit (…) redoubler d’efforts et consolider son avance écologique, qui se convertira progressivement en avance économique. »
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