Théâtre filmé, mais comme on le filme rarement. C’est une sorte de chorégraphie. La caméra tourne autour des acteurs en passant, curieusement, derrière les murs et les cloisons. Étonnant succès technique. Les mouvements des acteurs eux-mêmes semblent calculés pour faire rencontrer à chacune de leurs actions une partie du (très esthétique) décor probablement lourde de sens.
Quant à l’argument, il semble que l’on y parle d’une sorte d’aristocrate
qui apparemment veut faire une œuvre d’art de sa vie, et qui, pour cela, tue le
seul être humain de la pièce. Tout ceci sur fond d’une représentation
conventionnelle de la montée du nazisme. Faut-il y voir une parabole ?
Bref, trop intello pour moi.
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