Je concède qu'il n'a pas eu de chance. Son traducteur est certainement mauvais. Mais ce roman n’a rien de ce qui fait le prix et l’élégance de
Schnitzler et de Zweig. C’est une métaphore bien lourde des raisons de la
dislocation de la Hongrie du siècle dernier. On se croirait dans une fable neocon. Le Hongrois
était rustre, mais riche, courageux et honnête. Il a été trahi par les peuples
de bâtards métèques, parasites et cultivés qui vivaient à ses crochets.
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