vendredi 26 avril 2013

L’enfant et les sortilèges

J’entends un passage de L’enfant et les sortilèges. L’enfant est présenté comme un petit monstre. Son instinct le pousse au mal. D’ailleurs, il est contraint aux travaux forcés. (Il doit « faire une page », vraisemblablement sans qu’on lui ait expliqué pour quelle raison.) Et mis au thé sans sucre et au pain sec.

68 comme réaction ? Après n’avoir eu que des devoirs, l’homme n’a plus voulu que des droits ?

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