dimanche 22 février 2015

Fin du bipartisme anglais ?

Le système politique anglais a été conçu pour être un affrontement entre deux partis. Il y a maintenant 6 partis importants en Angleterre, et les deux principaux sont de moins en moins représentatifs de la société. On se dirigerait vers une représentation proportionnelle.

M.Valls fait passer les lois Macron en force. La France, guidée par ses intérêts de consommatrice, est avec lui. Les Juifs européens vont-ils partir vers Israël ? Ca ne semble pas une tendance forte. S’ils le font ce ne sera pas pour des raisons de sécurité, mais pour pouvoir vivre « une vie ouvertement juive d’une façon qui est de moins en moins possible en Europe ». Le parti de Mme Merkel est faible dans les régions et les Etats. « Personne ne peut dire ce qui va arriver à son parti après son départ. » Début de négociation entre MM.Tsipras et Varoufakis et l’Europe. Ils sont parvenus à se mettre tout le monde à dos.

Pour ennuyer M.Obama, les Républicains pourraient ne pas voter le budget de la sécurité intérieure. En dépit des risques terroristes. Les Kurdes iraquiens semblent s’acheminer vers l’indépendance.

Apple et Google ont peu de chances de « disrupter » les constructeurs automobiles, qui sont beaucoup plus rapides et efficaces qu’eux. Ils feraient mieux de collaborer. Les drones sont réglementés aux USA. C’aurait pu être pire, mais ça gène les projets d’Amazon.

Déflation dans le monde. Raison : partout les travailleurs sont en position de faiblesse. Là où on embauche, le travail est flexible. En Europe, c’est le chômage. « Si ces tentatives échouent (des banques centrales), alors la satisfaction d’avoir une nourriture et une énergie bon marché sera de courte durée et les économies criblées de dettes se trouveront devoir utiliser les gains dus aux  baisses de prix pour tenir à distance leurs créditeurs ». Le prix du pétrole remonte. Mais c’est parce que les clients stockent. Cela ne peut pas durer. Les Saoudiens, qui veulent mettre au pas leurs concurrents, pourraient avoir le dernier mot. L’Egypte essaie de relancer son économie. Mais le pays est fort peu sûr. Les investisseurs son contraints pour trouver des rendements corrects de chercher des placements de plus en plus exotiques. Ils en sont aux marinas et aux stations d’essence. Les banques centrales pratiquent le taux d’intérêt négatif. Cela devrait inciter les banques à prêter. Mais ce n’est pas le cas. Cela fait, essentiellement, chuter les devises nationales. Du coup, l’Europe veut mettre en contact direct l’épargnant et l’entreprise qui a besoin d’argent. Cela semble passer par une uniformisation des normes européennes. 

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