En y réfléchissant, j'ai pensé que cela définissait le type de mission auquel je suis associé. Le problème de l'entreprise, est, à son échelle, le même que celui de la planète. Mais, une fois de plus, l'affaire est paradoxale.
- Le changement démarre par un blocage. Ce que l'entreprise désire, c'est de ne rien changer. Mais ce n'est pas durable. Alors on procède à des décisions qui ne sont pas équitables (licencier certains, réduire le salaire d'autres... pour que d'autres encore puissent poursuivre leur existence selon leur bon plaisir). C'est reculer pour mieux sauter (ou disparaître).
- Le changement réussit lorsque l'on identifie un nouveau projet d'entreprise, équitable, et désirable. C'est ce que la systémique appelle un "changement d'ordre 2". Le changement peut être équitable, parce que l'objectif étant un peu éloigné, l'organisation dispose de latitude d'ajustement pour passer de l'un à l'autre.
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