Le gouvernement aurait-il réinventé le supplice chinois de la goutte d'eau ? La radio répète sans arrêt que le "virus est toujours là", et elle compte, cas par cas, les nouveaux malades, en nous promettant une "nouvelle vague". Cette méthode va-t-elle devenir la norme et être appliquée à la grippe, et aux épidémies qui nous frappent chaque année ?
Toujours est-il que le coronavirus aura été la Bérézina de la science. Des dizaines de millions de personnes ont été touchées dans le monde, et on en sait toujours aussi peu sur la maladie, sa propagation, les facteurs aggravants... L'Intelligence Artificielle, par exemple, qui défaisait champion du monde après champion du monde, démontrait l'imposture de Shakespeare, etc. a mordu la poussière.
En fait la science ne cherche pas. Elle a une solution : le vaccin. Elle lui consacre tous ses moyens. Il ne lui reste plus les moyens de penser.
Mais est-ce cela la science ? Et si, justement, le virus était l'occasion d'apprendre ce que nous ne savons pas ? Et si la science c'était le doute, et la soif d'apprendre pour le combler ? Mais comment faire de la science, quand tous les scientifiques sont salariés de multinationales ? Le virus nous aidera-t-il à trouver la solution ?
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