Il n’a pas lu la systémique. Celle-ci explique que ce qui fait rater le changement est qu’il est de « premier ordre », c'est-à-dire que celui qui le mène s'enferme dans un cercle vicieux. « Le problème est la solution ». Pour réussir, il faut changer le système, c'est-à-dire refuser ses règles. Changement de deuxième ordre.
Pour moi, le « leader » est un homme du deuxième ordre. Il échappe à la pensée unique. Du coup, contrairement à ce que dit P.Kotter, le changement ne prend pas des années, il est extrêmement rapide (du moins en ce qui concerne son mouvement décisif).
Va suivre une série d’illustrations, tirées de bides fameux :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire