Et la crise grecque ? Et s’il y avait une utilité à ce que la souffrance du Grec soit interminable et démonstrative, à ce que la Grèce mette des décennies à se redresser ? Cela ne fournira-t-il pas aux peuples européens un exemple édifiant susceptible de les éloigner du vice ? Mais, aussi, le doute que cela fait planer sur la santé de l’Europe et la faiblesse de l’euro qui en est la conséquence ne servent-ils pas les intérêts des exportateurs allemands ?
Actes machiavéliques ? Ou nos démocraties n’ont bon cœur que lorsque l’intérêt d’un de leurs composants dominants est affecté ?
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