Son argumentation ressortit au simple bon sens, dirait M.Guéant. Les taxis sont des « rentiers ». Si on leur imposait une concurrence parfaite, on aurait une création immédiate d’emplois peu qualifiés, et un transport facilité. Simple question de courage, dirait M.Sarkozy.
Pas si sûr. The Economist explique que la déréglementation des taxis pose des problèmes de mise en œuvre extrêmement complexes. En fait, la réglementation actuelle résulte avant tout de tentatives successives de corriger les excès d’un marché libre. (A fare fight)
En outre, si je ne prends pas le taxi, c’est qu’il est généralement plus lent que les transports en commun. J’imagine qu’une réforme des taxis devrait aussi s’accompagner d’une modification de l’infrastructure routière.
Dans ces conditions, pourquoi un tel acharnement ? Parce que l’économiste libéral n’aime pas voyager en transports en commun ?
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