D’un côté, il y a un peuple résolu, qui n’a pas peur du martyr, de l’autre un président jeune et appuyé par une armée dévouée. Chacun à ses alliés, les nations sunnites pour les uns, l’Iran et la Russie, pour les autres.
L’Occident et Israël ne seraient-ils pas au milieu ? La situation actuelle ne leur serait-elle pas favorable ? Un allié de l’Iran est paralysé, sa défaite mettrait Israël en face d’une union sunnite… Cela explique-t-il notre manque d’empressement à faire cesser l’affaire ?
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