Comme je le disais dans un précédent billet, Dassault n’a pas gagné l’appel d’offres indien.
Et l’Eurofighter revient effectivement en force.
Les Indiens ont-ils utilisé les élections présidentielles françaises pour stimuler la concurrence fratricide entre avions européens ?
En tout cas, s’ils infligent un camouflet à Nicolas Sarkozy, ils pourront dire qu’ils ont voté Hollande. Ils se seront fait un puissant ami. Jouent-ils à un jeu qu’ils ne peuvent que gagner ?
1 commentaire:
Bien que le contrat final ne soit pas encore signé on peut quand même espérer l'obtenir ce premier contrat pour le rafale. Même si j'ai cru comprendre que le consortium qui vend l'Eurofighter alias Typhon veulent proposer leur avion à un tarif plus attractif à l'Inde.
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