Une typologie des dits constructeurs :
- Une sorte de haut de gamme représenté par les constructeurs allemands, et notamment VW, en fort développement.
- Un bas de gamme dans une mauvaise passe :
- Renault et Fiat, qui ont construit un groupe international qui compense leur faiblesse.
- Opel, dont GM voudrait probablement se débarrasser.
- PSA, petit, seul.
La question que ceci pose est : restera-t-il un savoir-faire de construction automobile en Europe du sud dans quelques années ?
- Les tâches d’assemblage semblent promises à la délocalisation.
- Quel sera l’avenir de marques comme Renault ou PSA (s’il parvient à construire un partenariat) au sein de groupes dont ils seront le chaînon le moins reluisant ? Celui d’Opel ?
Compléments :
- Source : Too many cars, too few buyers. Remarque : une grande partie de la valeur de Renault et PSA vient de leurs participations (Nissan et Dacia pour le premier, Faurecia pour le second) ; Renault seul serait valorisé à – 7md€ (!).
- Histoire de changement ? Globalisation étant le nom du changement ? Les Allemands ont réussi, PSA a raté et Renault y a perdu son âme ?
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