« Quand un bon Américain meurt, il va à Paris ». Les Américains semblent avoir toujours beaucoup aimé Paris, « Jamais dans leur vie les Américains n’ont vu de tels parcs et palais, ou de si beaux et si nombreux ponts », disait-on. Pour autant l’Américain de Paris reste un Américain.
Cela tient peut-être à ce que l’Américain qui vient à Paris est très riche, et vit entre soi. Bien sûr, Paris n’est plus une cité lumière. Mais son élite est beaucoup plus amicale que jadis, comme le prouvent Minuit in Paris, Mme Lagarde ou DSK (que l’Amérique, d’ailleurs, ne veut plus nous rendre). Au fond, pour un Américain, Paris c’est un peu Londres, avec le frisson de l’exotisme en plus.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire