Le chancelier allemand a trompé son monde. Il s'est révélé un décideur rapide et efficace.
Et surtout, il a fait faire à son pays une étonnante volte face. Dépendance au gaz russe, charbon, nucléaire, pacifisme, dette... tout a été remis en cause. Et il s'agissait, dans certains cas, de doctrines qui semblaient consubstantielles au pays. Or, il préside une coalition faite des écologistes et des libéraux les plus intransigeants d'Europe !
Epreuve existentielle : c'est la crise qui révèle la nature d'un homme et d'une nation ?
1 commentaire:
C'est pas l'homme qui fait la guerre, c'est la guerre qui fait l'homme...
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