Les Américains commencent à se demander où trouver de l’argent. Voici ce que dit America’s widening fiscal gap, ça ne concerne pas que les USA :
the US income tax collects 45 per cent of its revenues from the highest-income decile. Compare that with Britain at 39 per cent, Canada at 36 per cent, France at 28 per cent, Sweden at 27 per cent and an OECD average of 32 per cent.
This difference is only partly explained by the less-equal US income distribution. The fact that the US has no broadly based national sales tax - value added taxes make Europe's overall tax codes less progressive still - only underlines the point. The US tax system raises comparatively little revenue; what little it raises already comes disproportionately, by international standards, from the rich.
Bizarrement, aux USA, la contribution des riches aux impôts est beaucoup plus élevée qu’en France. Explication, partielle : le pourcent le plus riche représente 17% de la richesse des USA, et seulement 8,5 de celle de la France (Inégalités françaises ?).
Mais ce n’est pas ce qui intéresse l’article. Ce qu’il dit est que les impôts ne seront pas suffisants pour régler les problèmes américains, le pays doit adopter notre TVA. Galbraith avait demandé cette taxe, pour une raison inattendue : elle suscite moins l’ire des puissants que l’impôt, qui leur est insupportable (Société d’abondance), et qu’ils combattent toujours avec succès.
J’en déduis que nous devons faire attention à ne pas réformer nos impôts à la légère, les conséquences de ces réformes peuvent être inattendues.
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