« Un changement de comportement a toujours fait parti du projet euro. Mario Monti (…) voulait que son pays rejoigne l’euro précisément pour qu’il soit forcé à une vision plus germanique de l’emprunt et des dépenses ». The euro's existential worries.
Ce qui semble confirmer ce que je soupçonnais. Nous en voulons à la Grèce d’être désorganisée, mais c’est parce qu’elle était désorganisée qu’elle est avec nous. Et c’est un raisonnement qui s’applique probablement à toute la zone euro. Par conséquent, la crise actuelle n’est pas l’exception mais la règle. Le changement est devant nous. En créant la zone euro, ses pères fondateurs ont voulu brûler nos bateaux, de façon à ce nous soyons contraints à réaliser le rêve qu’ils avaient pour nous. Leur technique de conduite du changement était probablement « tout ce qui ne tue pas renforce ».
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