Grèce et Angleterre : deux situations comparables, et pourtant l’une va connaître une décennie de purgatoire, alors que l’autre émergera de la crise plus dynamique que jamais. Raison ? Le carcan de l’euro répond Paul Krugman.
D’autres chroniqueurs anglo-saxons déplorent l’injustice grecque, qui prive de pain les bouches allemandes.
Illustration d’un double a priori ? Individualisme et économie comme maître absolu ?
Or, l’adhésion à l’euro n’a pas que des raisons d’opportunisme économique. Pour le Portugal et, peut-être aussi pour la Grèce, c’était la garantie qu’une dictature ne reviendrait pas. De même que l’adhésion à l’UE de l’Allemagne devait marquer la fin des querelles européennes fratricides.
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