- Étrange sensibilité de notre système. Il réagit de manière disproportionnée à d'infimes stimuli. Je me demande si l'examen de sélection du journaliste n'est pas d'être "anti Dieudonné" (ou équivalent Dieudonné, comme il y a un équivalent TNT).
- Ne peut-on pas faire un rapprochement avec la France d'entre deux guerres ? Elle était persuadée que le mal était en son sein. Parfois, qu'il était représenté par ceux qui voulaient stopper la menace nazie (qui, longtemps, n'avait pas les moyens militaires de la France).
- Le plus curieux est que cette critique, de gauche, semble brûler ce qu'elle a adoré. Dieudonné, par exemple, n'a-t-il pas les caractéristiques physiques d'une victime de la lutte des classes ? Et, les Israéliens, pourquoi sont-ils toujours condamnés, sans le moindre procès ? Pourquoi l'intervention de l'armée française n'a-t-elle soulevé aucun débat au sein d'un PS dont le fonds de commerce est l'anticolonialisme ?... Hasard ? Ou amour déçu ? Celui que l'on croyait une victime a refusé le martyr qui justifiait son statut ?
vendredi 3 janvier 2014
Plus de Dieudonné
Je n'entends plus parler de Dieudonné. Ouf. Cette histoire me fait me poser 3 questions :
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