vendredi 24 janvier 2020

Le mal de la France : le vingt / quatre-vingts ?

Le directeur technique d'une unité d'ingénierie me disait que le mal de son entreprise était le "vingt quatre-vingts". Les gens font bien ce qui est important, et mal le reste. Et c'est le reste qui les perd.

Je me suis demandé si ce n'était pas notre mal national. En effet, cela ressemble beaucoup à ce que je rencontre un peu partout depuis trente ans.

Faut-il désespérer ? Faut-il rêver de devenir allemands ? Eux qui font tout bien ?

J'ai constaté, à chaque fois que j'ai rencontré cette question, qu'il y une façon de formuler les quatre-vingts restants comme quelque-chose d'unique. Et, qu'alors, il devient important. Mais, aussi, qu'à ce moment, on arrive à résoudre la question simplement et immédiatement. L'idée est d'en faire un paquet, et de le confier à ceux qui sont responsables de son exécution.

On fait du quasi allemand, avec une méthode qui ne l'est pas du tout. Mais comment en tirer une méthode générale ?

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