- On a longtemps pensé que la meilleure façon de les administrer était de les confier à un seul ou à l'Etat: laissé à lui même chaque membre de la communauté tendait à pousser son intérêt au maximum, d'où destruction du bien. C'est ce que l'on appelle The tragedy of commons en anglais (la traduction française serait la tragédie des biens communs). Depuis quelques années on a découvert qu'il existait beaucoup de biens communs parfaitement gérés par des communautés. Comprendre comment elles font
peut se révêler une manière utile d'aborder des problèmes tels que la gestion d'Internet, la propriété intellectuelle, ou la pollution internationale, pour lesquels les responsables politiques internationaux ont besoin de toute l'aide qu'ils peuvent recevoir.
- Mon commentaire dans sa langue originale :
The unmanaged tragedy of the commons looks like the Prisoners’ dilemma. (When people are “isolated” they tend to make decisions that are good for them but bad for the group they belong to, hence for them in the long run.) A solution to this dilemma may be co-operation and “social networks”. Duncan Watts (Six Degrees: The Science of a Connected Age) gives examples of the building of such networks. Just in time slowly eliminates inventories. Workshops become more and more sensitive to hazard. Their members have to cope with more and more small problems. Thus they learn to co-operate. And these networks become outstandingly resilient. How to apply these ideas to Internet or to our planet? Maybe favour everything that put neighbours in charge of small neighbourhood problems. But avoid what may build “islands of neighbours”.Sur le même sujet : Toyota ou l’anti-risque
Sur des moyens de gérer la planète qui ne soient ni uniquement le marché, ni uniquement l'Etat : Gouvernement à effet de levier
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