Chaque année j’en reviens à la question des vacances, et, au fond, ma théorie ne change pas.
Notre vie est cadencée par la contrainte extérieure : bruits de notre immeuble, remplissage du métro, pas de la foule sur le trottoir… Bien difficile d’avoir un rythme de vie un peu original dans ces conditions. D’une certaine façon c’est la société qui nous agite.
Je soupçonne qu’obéir à cette contrainte demande un ajustement coûteux pour la santé humaine, et qu’elle a besoin de casser ces règles un moment pour sortir de ce rythme imposé, plus que pour retrouver la maîtrise de son destin.
1 commentaire:
Je trouve que l'anticipation voire le soif pour les vacances amènent un mauvais état d'esprit... Penser que pendant 46 semaines on vit et on travaille que pour les 6 semaines (selon ses droits) de vacances n'est pas sain non plus. Il faudrait trouver suffisamment de plaisir pendant ces 46 semaines pour éviter la casse coté santé; et aussi diminuer la déception face aux attentes trop élevées pour les 6 semaines de vacances.
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