Les Anglais se sauraient plus européens qu’on ne le croit. Et ils auraient oublié leur rêve d’empire. Et puis, leur pouvoir d’influence sur l’Europe est peut-être la meilleure façon de s’attirer l’estime de l’Amérique…
Voilà comment j’interprète Europe and the Trojan poodle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire