vendredi 13 avril 2012

Apocalypse 2030 (suite)


The Economist visite une galerie marchande asiatique. Elle mesure plus d’un kilomètre et est pleine de pacotilles en cochonnerie. C’est la matérialisation des aspirations d’une nouvelle classe moyenne forte de milliards d’individus. (Mall of the masses)

L’Occident a été comme cela après guerre. Et c’est peut-être la meilleure démonstration des prévisions du Club de Rome : le modèle d’existence qui a gagné le monde est celui de la consommation ; mais, il n’est pas durable pour des raisons, finalement très simples, d’épuisement de ressources.

Le raisonnement d’Adam Smith, qui veut que la richesse des nations soit les biens matériels qu’elles produisent, est poussé à l’absurde ? Et peut-être avec lui le modèle capitaliste ?

2 commentaires:

Dominique Delmas a dit…

je rappelle l'un des péchés capitaux selon LORENZ, la consommation

Christophe Faurie a dit…

Et comment le bon Dr Lorenz compte-t-il nous sortir de là?