Les virus ? Des morceaux d'ARN qui flottent dans l'espace, et qui ont "besoin" de l'ADN (du nôtre en particulier) pour se multiplier. Dans certains cas, ils peuvent y rester ad aeternam. Sans causer de dommages. Au contraire. Alors ils se transmettent. Sans le virus, l'homme n'existerait pas. (Article.)
Et si le virus était, tout simplement, le mécanisme d'évolution de la vie ? Des "éléments" constitutifs, qui cherchent à s'assembler, pour créer, sans cesse, du neuf ?
Pourquoi, alors, le virus peut-il mal tourner ? Il est tentant de penser à une théorie d'Emile Durkheim. Selon lui les sociétés ont, en quelque-sorte, des principes fondateurs, par exemple l'innovation. Et ces principes conduisent à du bon (innovation comme progrès), mais aussi à du mauvais (innovation comme triche). On ne peut rien y faire, le principe sera toujours mal interprété. On entre dans le domaine du "pathologique", lorsque le taux normal de néfaste est dépassé. Il faut rétablir l'équilibre. Il en est de même du virus ?
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