Durant le premier confinement, j'ai testé les fonctionnalités de commerce en ligne des grandes surfaces. En les comparant à ce que propose Picard et Amazon, j'ai été surpris de leur aspect soviétique : interfaces démodées, ruptures de stocks et absence des références que j'achète d'ordinaire, et que je trouve dans leurs magasins.
J'ai interrogé un ancien dirigeant de la logistique de la grande distribution qui m'a expliqué qu'il était difficile et coûteux de proposer ce qui se trouve en magasin.
Même si l'on n'aime pas Amazon, ne doit-on pas lui reconnaître un mérite ? me suis-je demandé. Au moins, pour lui, le consommateur est roi. Serait-ce cette contrainte qui l'a rendu créatif et a fait sa fortune ? (Je ne sais pas ce qu'il en est pour Picard.)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire