La réforme est la cause des problèmes français, pas le Français. Une idée fixe de ce blog, qui semble confirmée par les faits. Les têtes doivent-elles rouler ?
L'erreur est le prix de l'apprentissage. Et gouverner un pays, ou une entreprise, ce n'est pas qu'être un décideur, c'est être un virtuose d'une quantité de rites, notamment concernant les relations internationales, c'est un métier. Et ce métier, nos gouvernants le possèdent, pas nous.
Ce qu'a frappé le "dégagisme" a été une forme de cynisme, de la classe politique. Outre la maîtrise des rites, un gouvernant doit, donc, avoir une éthique de l'intérêt général. Il est probable qu'elle a plus de chances d'être présente chez l'énarque que chez le professionnel des élections, le "politicard".
Voilà pourquoi les révolutions ne sont pas une bonne idée ?
(En revanche, il serait agréable que ceux qui sauvent leur tête aient un peu de reconnaissance pour ceux qui ont fait les frais de leur apprentissage. Cela corrigerait le vice que nous reproche le plus l'étranger : l'arrogance.)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire