dimanche 15 mai 2011

DSK, France, Grèce et Europe

Le Washington Post ajoute aux informations de la radio française que DSK se trouvait dans une suite coûtant 3000$ la nuit… Qui la payait : lui ou le FMI ?

À court terme, les journalistes étrangers s'émeuvent moins des élections françaises que du sort de la Grèce (puis de l’Europe) : peut-elle se tirer du mauvais pas dans lequel elle est sans un FMI fort ? (Trouble at the IMF)

En attendant, il est curieux comme l’avenir du monde – et celui de la France - tient à peu de choses. C’est peut-être pour cela que les hommes politiques, en particulier, ne désespèrent jamais de leur sort, aussi inquiétant paraisse-t-il : un retournement est toujours possible. 

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