Il avait, pourtant, vu arriver le danger. Et même étonnamment tôt.
En tout cas, FujiFilm, lui, s’est sauvé. Curieusement, son comportement a été beaucoup plus américain que celui d’un Kodak paralysé : licenciements massifs et colossaux investissements de diversification. (Technological change: The last Kodak moment? | The Economist)
N’y aurait-il tout de même pas un rien de culpabilité culturelle ? Face à un PDG japonais qui applique ses idées depuis 2000, sans être dérangé, Kodak a changé à répétition de dirigeant, chacun essayant une nouvelle recette…
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