D’ailleurs la question ne se pose-t-elle pas aussi pour d’autres occupations à haut risque ?
Démonstration que l’innovation nécessite un « accompagnement du changement » ? L’homme n’est pas naturellement prêt à la nouveauté, et a besoin d’un apprentissage pour en tirer le meilleur ? D’autant plus que le « marché » tend à exploiter nos faiblesses (par exemple notre amour des graisses ou du sucre) ?
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