Ce qui tue le changement, ce sont des « déchets toxiques ». Des dysfonctionnements que l’on se cache, et qui sont d’autant plus redoutables qu’ils sont triviaux. Par exemple, un affrontement larvé entre « barons ». Ce peut-être aussi une forme d’idéologie : par exemple une application des techniques « lean » qui vont à l’encontre de leur esprit, ou une politique de croissance externe « virile » (i.e. qui considère les sociétés achetées comme conquises).
Ces déchets toxiques se retrouvent partout. Une fois
identifiés, les membres de l’entreprise savent leur trouver des solutions, pour
peu qu’on leur apporte un minimum de méthodologie.
Dans la suite, je vais examiner les 5 grandes questions
qu’il faut passer en revue lorsque l’on mène une chasse au déchet toxique.
J’expliquerai brièvement – dans ma logique de billets courts – l’esprit de
l’analyse à faire, plutôt que son détail.
Finalement, notez que ce travail ne demande pas plus de
quelques jours avec un « noyau dur » de dirigeants : ils ont
« tout dans la tête », il suffit de le mettre en ordre pour que le
changement réussisse.
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