Écosystème semble aller de pair avec diversité. La condition
de survie de l’écosystème, donc de ses membres, est, peut-être, qu’il devienne
de plus en plus divers. Le rôle du membre de l’écosystème serait, même, de
chercher à développer cette diversité.
Je ne sais pas à quoi cela est dû. Mais cela semble prendre
le contre-pied de la tendance naturelle de la civilisation née de la Révolution
industrielle, qui aurait cherché à tout uniformiser. Par exemple, c’est le combat
de Taylor. Il voulait amener tout le monde aux « meilleures pratiques »,
pour des raisons « d’efficacité ». C’est l’idée qui sous-tend les
progiciels de gestion modernes (SAP, Oracle…).
L'intérêt récent pour la diversité semble provenir de la crise. L’idéologie
dominante ayant été ébranlée, son idéologie opposée a profité du vide pour se faire entendre ?
Compléments :
1 commentaire:
l'écologie apporte beaucoup de connaissances utiles à la compréhension du mode de fonctionnement de la nature qui n'a "que" quelques dizaines de millions d'années d'expérience.
tandis que l'homme n'est là, comme espèces influentes, que depuis quelques milliers d'années et encore...
La dérive de l'écologie provient de la prise en otage de cette noble science qui vise à nous comprendre par des "extrémistes" et des politiques dont je doute de la vraie culture scientifique sur le sujet.
Il y a certainement une confusion entre le noble écologue et l'ambitieux écologiste.
Le premier est un scientifique le second est un politique.
pour en revenir à l'écosystème si à la mode aujourd'hui, c'est peut être enfin du bon sens qui se répand petit à petit.
Bon sens qui se retrouve dans l'écologie, et l'observation des milieux.
On y observe par exemple, que tout est cyclique, que "rien ne se crée rien ne se perd tout se transforme".
On y observe que chaque espèce joue un rôle et est parfaitement adaptée pour jouer son rôle.
Voilà quelques principes et il y en a d'autres sur lesquels l'homme devrait se pencher pour étudier son comportement et le faire évoluer pour éviter d'aller dans le mur.
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