La manœuvre semble habile. J’ai lu quelque part que le
portefeuille de prêts était de l’ordre de 20md et que, contrairement aux
banques grecques, Emporiki ne pouvait pas faire appel aux largesses de l’Europe,
mais uniquement au CA.
Il demeure qu’une affaire achetée 2md aura coûté, en plus et si tout ne va pas au pire, 7,6md au
Crédit Agricole… C’était le dernier épisode de ma série changement et
acquisition d’entreprises…
Compléments :
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