Alors que, longtemps, la fonction marketing a été protégée
et paisible, elle est, pour ces raisons, au cœur du cyclone du changement. C’est
une « tempête parfaite », diraient les Américains.
- En Occident, le marché ne croît plus. Or, les budgets marketing, par exemple dans la grande conso, sont colossaux. De même que l’on a fait brûler du Templier, il devient tentant de réduire ces dépenses.
- Le marketing doit vivre à l’ère d’Internet, ce qui lui demande une réactivité inconnue jusque-là et la fusion de fonctions imperméables les unes aux autres (y compris, d'ailleurs, non marketing, telles les systèmes d'information).
En fait, cette transformation n’est que la dernière de la
mode du reengineering qui touche l’entreprise depuis les années 90, et dont j’ai
parlé dans la série de billets précédents. C’est la fin d’une histoire.
Si vous venez à cette conférence, je vous dirai mes idées
sur les techniques de « réinvention » d’un processus, pour le rendre
« considérablement » plus productif, et comment mener le
changement que cela signifie… (Cliquer ici pour s'inscrire.)
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