Il y a une décennie, on faisait des découvertes sur Internet. Par exemple, j'ai trouvé le site d'un professeur américain spécialiste de la Chine ancienne. En quelques références, j'ai appris ce que je sais sur la civilisation de ce pays. Aujourd'hui, le mieux que je puisse espérer est trouver ce que je cherche.
Contrairement à ce que l'on nous dit, la caractéristique d'Internet n'est pas la quantité d'informations que l'on reçoit, mais sa valeur. Internet c'est une masse de déchets sans intérêt. Le problème que cela pose est le filtrage. Hier, il était fait par les journaux. Mais, aujourd'hui, eux aussi ont été victimes du syndrome Internet : ils nous disent ce que l'on entend partout.
Les réseaux sociaux me servent à filtrer l'information. Pas avec beaucoup de succès. Google+, pour commencer. Je me suis abonné aux flux d'information de quelques titres internationaux. Mais, même là, il y a peu d'intérêt. D'ailleurs, j'ai découvert que l'offre était plus étendue sur Facebook que sur Google+, réseau que je n'utilisais pas jusque-là. Finalement, ce qui marche le mieux est la liste de blogs qui figure sur mon blog. Il y apparaît la dernière publication d'un des sites que j'ai sélectionnés. C'est encore là que j'en apprends le plus.
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