Les expériences sur l'animal révèlent des capacités immenses. Paul Watzlawick observe que c'est l'homme qui a permis à l'animal de révéler son potentiel. Or, il n'y a rien au dessus de l'homme, qui le force à se transformer, conclut-il. Dommage ?
Et si cet être existait ? Et si c'était la société ? La société nous fait connaître les crises, les guerres, l'innovation..., la "disruption" en un mot (ou, plus littérairement, la "destruction créatrice"). Elles nous forcent à nous surpasser. A devenir des surhommes. Voilà ce qui aurait surpris Nietzsche ?
(Et tout cas, c'est le contraire de ce qui fait le fondement de mon métier, et de mes livres : en jouant sur les règles sociales, on réussit le changement, sans "bouleverser" l'homme...)
(Et tout cas, c'est le contraire de ce qui fait le fondement de mon métier, et de mes livres : en jouant sur les règles sociales, on réussit le changement, sans "bouleverser" l'homme...)
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