Résultat : si rien n’était fait nous devions connaître
l’apocalypse en 2030. La population mondiale n’aurait plus les moyens de se
maintenir intégralement en vie. 40 ans après, ces prévisions n’ont pas été
remises en cause.
Qu’en pense-t-il aujourd’hui ?
La situation était réversible dans les années 70. Il aurait
fallu sevrer la société de son matérialisme. Un acte important aurait été de remplacer les indicateurs économiques (PIB) par des indicateurs de développement humain.
Aujourd’hui nous consommons150% de ce que nous apporte la nature. En fait, le capitalisme n’est qu’une succession de bulles spéculatives que l’espèce humaine est incapable de prévoir. Celle-ci sera de la même nature que les autres, mais infiniment plus destructrice.
Aujourd’hui nous consommons150% de ce que nous apporte la nature. En fait, le capitalisme n’est qu’une succession de bulles spéculatives que l’espèce humaine est incapable de prévoir. Celle-ci sera de la même nature que les autres, mais infiniment plus destructrice.
Que faire ? Il étudie la « résilience » : la capacité du tissu social à survivre à d’énormes
chocs, sans perdre ses fonctions vitales. Pas très encourageant.
Compléments :
- Isit Too Late for Sustainable Development? | Science & Nature | SmithsonianMagazine (l’interview de Denis Meadows)
- Looking Back on the Limits of Growth | Science & Nature | Smithsonian Magazine (analyse de ses prédictions.
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