Comment le résoudre ? Faut-il mentir à l’homme en lui disant qu’il est libre ?
Ce que dit Kant - « le fataliste le plus convaincu (…) doit agir, à chaque fois qu’il est question pour lui de sagesse et de devoir, comme s’il était libre » (Vers la paix perpétuelle et autres textes, Garnier Flammarion 2006) – semble répondre à la question : expliquons à l’individu que le comportement qui est déterminé par l’idée du libre arbitre est optimal.
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