The Economist (Too much buzz) semble emboîter le pas à notre conversation concernant l’impact des médias sociaux sur notre vie : une « tornade de bruit ».
Pour les émetteurs d’informations, le nouveau monde sera coûteux. Les entreprises devront investir dans encore plus de canaux de communication pour atteindre le même nombre d’oreilles. Pour les receveurs, ce sera la confusion. Tout le monde va avoir besoin de meilleurs filtres – éditeurs, analystes, cadres intermédiaires, etc. – pour extraire la signification d’un blizzard de bruit.
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