Je décode avec peine le volontaire et l'involontaire de Paul Ricoeur. Problème : je ne crois pas à la volonté. Volonté signifie qu'il y ait un libre arbitre, et le supposer conduit à des contradictions sans fin. Je ne crois pas à je.
Comment avançons-nous, alors ? Par influence, peut-être. Nous réagissons à notre environnement, en particulier à ce que nous entendons. C'est pourquoi il est probablement utile de croire qu'il existe une "volonté", ou un je.
(Pour autant, je ne crois pas au déterminisme. La vie change par "big bang", qui rend son cours imprévisible. Le monde se crée continûment. Le prospectiviste est contre nature.)