Aussi bien à gauche qu'à l'extrême droite, il semble qu'il y ait une même vision de l'homme. Il est bon ou mauvais. Comment réformer celui qui est mauvais, sinon en l'éliminant ? Il serait bien que ces gens se posent cette question.
Peut-on parler d'humanisme et de droits de l'homme, dans ces conditions ?