La crise révèle une faiblesse, grave, de la France : sa dépendance à un tout petit nombre de très grandes sociétés, comme Airbus, dit le Financial Times.
Conséquence : non seulement cela risque de mal se passer pour elles, mais, surtout, pour des sous-traitants totalement dépendants.
S'il y a un changement à réussir, c'est parvenir à redéployer toutes ses entreprises, et leurs personnels, sans que leurs compétences ne soient acquises, pour rien, par l'étranger.
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