C'est le lien HTML qui fait Internet. On y vit pour la notoriété. Et la notoriété c'est être cité par des gens influents (comme Hervé Kabla). Et la citation passe par le lien.
Une décision de justice va-t-elle rendre le lien, criminel ? C'est ce que pense le New Yorker, à la suite d'une décision espagnole qui force Google à payer pour citer des articles.
The law troubles advocates of Internet freedom (and, one imagines, Google and other Internet companies) because it seems to fit into a broader pattern, in Europe, of government actions that undermine what is sometimes known as the “right to link.” The best-known example of this is the decision, in May, by the European Court of Justice, that Europeans have a right to have links to information about them removed from search results—the “right to be forgotten,”
Ce blog, aide mémoire de son auteur et tissu de citations, tremble.
L'attitude des journaux qui ont attaqué Google est étrange. En effet, d'ordinaire on paie pour que Google nous fasse de la pub. Ou on dépense beaucoup d'argent et d'efforts pour propulser ses articles le plus haut possible dans les pages de recherche Google...
J'en suis venu à me demander si ce procès n'était pas un acte de désespoir. Rien ne fonctionne plus pour la presse, elle ne sait plus quoi faire pour gagner un peu d'argent. (Mon idée est-elle idiote ?)
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