J’en reviens à la biographie de Mme Merkel lue dans le New Yorker. Et si, une fois
de plus, j’avais tort ?
J’ai interprété la ligne directrice de Mme
Merkel comme étant « cultivons notre jardin ». Et si c’était plutôt « Arbeit
macht frei ». Autrement dit, travaillez dur et ne vous posez pas de
questions. Le mal du monde, c’est vouloir penser.
Ce qui pourrait expliquer l’inquiétude
de l’auteur de la biographie.
(Rappel. Vouloir penser est l'idéal des Lumières et la fondation, au moins théorique, de notre société. Sapere aude, ose penser, dit Kant. Mauvais Allemand ?)
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