La crise grecque, c’est la politique du pire. Et on a le
pire.
L’origine de la crise, c’est une dénonciation. Un parti
politique en a accusé un autre de malversations. Ce qui a attiré sur le pays
les foudres du marché. Récemment, le premier ministre grec a cru qu’il assurerait sa position en suscitant une crise. Et il a eu une crise. Elle va
porter au pouvoir l’épouvantail Syriza. Or, entre-temps, on a fait tout ce que l’on
a pu pour que l'élection de Syriza ne
puisse que susciter le chaos.
Va-t-on poursuivre cette politique ? Nos gouvernants vont-ils trouver de nouvelles entourloupes pour préserver le statu quo ? La crise grecque annoncée va-t-elle les forcer
à chercher des alternatives à la politique qu’ils ont menée jusque-là ?
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