- Divorce : fatalement des tensions entre parents. Essayer d'en abriter les enfants ("les négociations sont dures, elles se répercutent sur les enfants"). Surtout "ne pas prendre à parti le gamin", "ne pas l'utiliser comme mesure de rétorsion, ou comme espion". "Ce n'est pas parce que l'autre cache, qu'il faut cacher.", "jouer son rôle de façon neutre : pas oeil pour oeil."
- "Sortir du contexte judiciarisé du divorce." Le droit français empêche le contact humain et encourage la surenchère, et envenime les relations. Penser "médiation". "Le meilleur investissement que nous ayons fait."
- Adopter des "rituels", pour faire oublier les "souvenirs stressants".
- L'enfant demande "de l'équité et de l'égalité". Les meilleures solutions sont celles qui traitent les parents à égalité. Mais ne pas imposer une égalité mécanique, si l'on n'en a pas les moyens, par exemple pas le temps de bien s'occuper de l'enfant que l'on a en garde. Il vaut mieux faire peu et bien, que beaucoup et mal. "Faire quelque-chose qui marque les esprits."
- Attention, l'enfant n'est pas un ange. Il peut aussi profiter de la situation, et manipuler ses parents. "Faire plaisir aux enfants, ne leur rend pas service."
- Vigilance. Enquêter, notamment auprès des professeurs, pour connaître les réactions de l'enfant. Il est important que les parents se parlent, et se parlent de l'enfant, et qu'il le sache. En outre : "le jour où on s'est reparlé, ça a été apaisant pour l'enfant."
- "Assumer son rôle, sans se débiner". Jouer son rôle de père ou de mère. Tenir ses engagements. Adopter une attitude respectueuse par rapport à son ancien conjoint, en particulier. Cela paie à long terme.
(Précédent billet sur la question.)