Les peuples dits "primitifs" vivent au jour le jour. Ce qui les amène, par exemple, à engloutir des masses énormes de nourriture pendant quelques jours, à dormir, et à jeuner ensuite durant des semaines. C'est ce que rappelait une émission de France Culture, qui cherchait à savoir s'il serait difficile de s'adapter à une glaciation.
Une de mes vieilles idées. Le fait que notre société soit inutilement réglée, la rend fragile. Par exemple, tout le monde va au travail aux mêmes heures et se retrouve dans des bouchons. Dans la marine, le principal intérêt du moteur sur la voile n'est pas tant la vitesse que la ponctualité. Or, cette ponctualité ne sert généralement à rien, sinon à encourager notre esprit à la paresse.
Le point commun du sauvage et du vent ? Profiter des forces de la nature. Ce qui évite le gaspillage. Mais, aussi, rend résilient. Ce qui est prévisible est fragile.
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